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La chaire invitée à partager ses travaux auprès des chercheurs et des curieux !

La semaine du 25 au 29 septembre 2023, la Chaire RESET a eu l’occasion de participer à deux évènements importants en lien avec ses travaux.

Le mardi 26, la division Recherche et Développement de RTE a organisé une séance plénière axée sur la notion de sobriété à Paris.

Lors de cet événement, Pauline Romary, responsable des études liées à la sobriété et à l’efficacité énergétique au sein de la Chaire, a été invitée à présenter son analyse historique du concept de sobriété et de son évolution à travers les époques. Parmi les intervenants se trouvaient également Julie Mayer de l’Université de Rennes et Mathias Guérineau de l’Université de Nantes, qui ont exposé leurs recherches sur les diverses formes d’organisation de la sobriété.

Sandra Hoibian du CREDOC (Centre de Recherche pour l’Etude et l’Observation des Conditions de vie) a, quant à elle, abordé les résultats d’une enquête sur les attitudes des Français face aux défis d’approvisionnement énergétique durant l’hiver 2022-2023. Enfin, Yamina Saheb, membre du GIEC, a partagé les obstacles majeurs qu’elle a rencontré pour promouvoir le concept de sobriété à l’échelle internationale.

Tous ces intervenants ont participé à une table ronde animée par Madeleine Laborde, concluant ainsi une matinée enrichissante dédiée à cette thématique essentielle pour les années à venir.

 

Le vendredi 29 au soir, l’équipe pilote de la chaire de retour de la capitale a participé à la nuit européenne des chercheurs. Lucas Lopez et Pauline Romary ont représenté avec brio la Chaire RESET et l’Université Bordeaux Montaigne à Cap Sciences. Ils ont participé à une activité spéciale appelée « rencontre dans le noir », exposant les enjeux liés à l’intégration de la sobriété dans notre société ainsi que les défis associés à la question énergétique. De plus, ils ont abordé le rôle crucial de l’historien dans notre société, le tout dans une obscurité totale. Cette présentation a été suivie d’une discussion animée avec les participants présents, qui ont posé des questions précises et parfois complexes, soulignant une fois de plus l’importance de maintenir un dialogue continu entre les chercheurs et la société.